lundi 20 mai 2013

Qu'est-ce que Le groupe Upsilon?

Le groupe Upsilon est le premier roman d'Yvon Le Roy. Le groupe Upsilon est à la fois un polar et un roman d'espionnage



Le groupe Upsilon est l'histoire de relations entre un auteur, une vie d'industriel et de tout un tas de machines spéciales... 


Le groupe Upsilon, c'est également la 20ème lettre de l’alphabet grec: Upsilon. Un symbole proche de la nature, à forte connotation humaine dans sa part irrationnelle, voire charnelle.


Dans le roman d’Yvon Le Roy, l'Upsilon est l’un des symboles utilisés dans la soudure de joints d’acier, au cœur de la recherche du groupe du même nom.



Le groupe Upsilon, c'est la découverte d'un monde industriel complexe, parfois opaque, où une équipe d'ingénieurs passionnée crée des prototypes innovants de moyens de production dans un marché où tout le monde s'observe... 

Le groupe Upsilon, c'est une guerre économique où il y a forcément des victimes... Mais pas toujours celles qu’on croit...

Le groupe Upsilon est un roman qu'Yvon Le Roy ne désirait pas uniquement voir porter sur une enquête policière. Ce roman parle de personnages bien vivants, avec un passé et peut-être un avenir... Certains de ces personnages pourraient même devenir récurrents... L’avenir - et votre lecture ! - le dira



Le groupe Upsilon

Court extrait - page 28 sur... 282


    En déambulant sur la pelouse, Paul lui confia l’existence du journal de son père. Sans pour autant évoquer l’énigme des surnoms ni le courrier en provenance de l’Office Européen des Brevets.

    Léa Morillon devint attentive et calme. Subitement, Paul s’arrêta. L’information de Pierre, ce matin à son arrivée, lui revenait en mémoire :

    - Vous saviez que Thierry Lherbier et Hélène Saison, oui... l’accident de l’A26. Vous saviez qu’ils étaient aussi attachés au centre de recherche ?

    Léa Morillon pâlit subitement. D’une voix faible, elle prononça ces mots qui résonnèrent dans sa tête jusqu’au soir.

    - Mais alors, ça fait cinq, si on compte votre père : Lucien aurait raison ?

    Sur le moment, il ne saisit pas le sens de cette comptabilité... Mais elle ajouta :

    - Oui... Si on compte aussi Laforge, Sauveur et votre père qui en faisait partie, cela fait cinq.

    Stupéfait, Paul en resta bouche bée. Daniel Laforge, le responsable de l’aciérie, mort récemment dans des circonstances horribles, avait travaillé lui aussi, au centre.

    Atterré, il comprit d’un seul coup la raison de l’agitation perceptible dans le service ce matin.

    Peu discret, Pierre les appelait maintenant de loin pour leur signaler la fin de la pause-déjeuner. Tous les regards des ouvriers sortant de la cantine confluèrent vers eux. Les jeunes gens convinrent de se retrouver Chez Lucien Morutier le soir même. En le quittant, la jeune femme lui adressa un dernier regard bien énigmatique. Il espérait que ce ne soit pas seulement de la compassion...


Le Groupe Upsilon

Un passeport pour l'Enfer !


Dunkerque, printemps 2012...


Une succession de morts accidentelles chez Noresteel laisserait penser à une série malheureuse si elles ne concernaient pas uniquement des cadres ingénieurs qui faisaient partie de la cellule d’innovation Upsilon.


Vingt ans après leurs travaux communs, ces anciens membres du centre de recherche pouvaient-ils se douter qu’ils courraient un danger mortel en s’approchant d’une excavatrice, d’une poche d’acier en fusion ou de l’un de ces énormes camions Jumbo chargés d’évacuer les scories ?

Alors meurtres ou accidents en série ? Le commissaire Toury ne croit pas aux coïncidences fortuites.


Mais comment mener une investigation efficace quand la direction de l’entreprise fait la sourde oreille et que les employés se taisent dans la crainte de perdre leur emploi ?

Une jeune informaticienne, Léa Morillon, avec l’aide de son oncle, découvre le lien entre les cadres décédés. Elle cherche alors à convaincre Paul Beulin, le fils de l’une des victimes, d’enquêter avec lui pour leur propre compte. 

Paul Beulin accepte en lui révélant l’existence d’un carnet où son père se dévoile sous un tout autre jour...







Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire